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SIDA : une nouvelle molécule très prometteuse

Publié le : 19/02/2015 00:00:00
Catégories : Conseils & Solutions

SIDA : une nouvelle molécule très prometteuse

Une expérience menée en Floride sur des macques a permis de découvrir une molécule « anti-sida ». Même si les premiers résultats sont prometteurs, de nombreux autres tests sont essentiels avant de pouvoir procéder à des essais sur l’homme.

 

Efficace contre des doses encore plus importantes :

Les essais cliniques dans la lutte contre le sida ne manquent pas. Pourtant, les premières conclusions apportées par le Professeur Farzan dans le cadre d’une expérience faite sur les singes. L’immunologiste américain a mis en place une molécule de synthèse qui pourrait éviter au VIH-1, le type de virus le plus répandu dans le monde, de s’insérer dans les cellules du système immunitaire pour s’y propager.

Cette molécule a un nom : e-CD4-lg. Elle a été administrée en une seule fois sur des singes rhésus qui ont ensuite reçu des doses de plus en plus importantes du virus. Le résultat a été concluant puisque aucun de ces animaux n’a développé d’infection, même après trente quatre semaines et alors que la dose de virus qu’ils recevaient était quatre fois supérieure à celle nécessaire pour contaminer un tel singe. Des essais tellement encourageant qu’ils ont faits l’objet d’un article dans la célèbre revue scientifique « Nature ».

De plus, le Professeur Farzan a laissé sous entendre que la protection offerte par la molécule pouvait être efficace contre des doses encore plus massives et sur des durées encore plus longues que celles retenues dans l’expérience. De plus, il précise que d’autres tests sur les singes seront nécessaires avant de pouvoir procéder à des tests sur l’homme, pour assurer la parfaite continuité de son incubateur.

 

Une unique prise pour un traitement de longue durée :

Aujourd’hui, la plupart des travaux de recherche dans ce domaine ont été faits sur les antirétroviraux. Ils constituent les principaux traitements actuels et s’avèrent efficaces pour réduire la quantité de virus présente dans le sang chez les personnes touchées. Cependant, ils ne peuvent pas mettre fin au VIH du corps humain. C’est pour cette raison qu’ils doivent être pris à vie avec les effets secondaires qui s’en suivent. La molécule testée actuellement ne présente pas cet inconvénient car une seule prise permettrait une protection de longue durée

 

Fonctionnant différemment des antirétroviraux, l’inhibiteur développé au Scripps Research Institute n’a pas cet inconvénient, une unique prise permettant apparemment une protection de longue durée.

 

Louis.G / Source : www.lesechos.fr

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