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Espérance de vie : la croissance se poursuit

Publié le : 19/12/2014 00:00:00
Catégories : Conseils & Solutions

Espérance de vie : la croissance se poursuit

La durée de vie moyenne dans le monde poursuit sa croissance et a augmenté de six ans depuis 1990, précise une étude publiée jeudi dans « The Lancet ».

 

Trente ans en un siècle :

 Le monde connaît depuis un siècle une espérance de vie en constante progression : elle a augmenté de trente ans en un siècle et la dernière étude publiée par « The Lancet » vise à aller dans ce sens. A partir de données recueillies dans 188 pays, il a été constaté que l’espérance de vie moyenne est passée de 65,3 ans en 1990 à 71,5 ans en 2013 (hommes : 5, 8 ans et pour les femmes : 6,6 ans).

« Les progrès réalisés face à un grand nombre de maladies et blessures sont bons et même remarquables, mais nous pouvons et nous devons faire encore mieux », souligne le responsable de l’étude, le Dr Christopher Murray, professeur à l’université de Washington.

 

Le développement de thérapie génique :

Ces données s’expliquent de différentes manières :Dans les pays riches, la hausse de l’espérance de vie s’explique par la baisse des décès par cancers et maladies cardiovasculaires. Alors que dans les pays pauvres, les progrès s’expliquent principalement par le recul des décès chez les nouveaux-nés et les enfants, par diarrhée ou maladies respiratoires.

Alors que les résultats semblent favorables à première vue, ils masquent en réalité le développement de certaines maladies : les cancers du foie provoqués par des hépatites C les troubles graves du rythme cardiaque, les maladies liées à la consommation de drogues, l’insuffisance rénale chronique et le diabète. Cette étude a été financée par la fondation Gates et a été réalisée malgré des trous importants » dans les données sur la cause de la mort dans certaines pays, notamment en Inde.

 

Cette croissance vise à se poursuivre durant au moins vingt ou trente ans. Mais le franchissement de cette barrière ne sera pas envisageable sans modifications biologiques importantes comme le développement des thérapies géniques. Mais sommes nous prêt à aller dans ce sens ? Est ce cela le plus important ? Ne doit on pas mettre la qualité de fin de vie avant tout ?

 

Louis.G / Source : www.lesechos.fr / Image : www.gridam.fr

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