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Dépression: le rôle joué par l'alimentation

Publié le : 28/09/2015 00:00:00
Catégories : Conseils & Solutions

Dépression: le rôle joué par l'alimentation

Selon une étude menée à l’Université de Las palmas, dans les îles Canaries, il existerait un lien entre dépression et notre façon de manger. Après le poisson, c’est donc bien les fruits et légumes qui pourraient nous aider à avoir un meilleur moral.

 

« Au début de l’étude, aucun n’était atteint de dépression »

Plusieurs études ont déjà montré les conséquences de notre alimentation sur notre santé. D’ailleurs, dans un de nos articles, nous vous avions parlé d’une étude parue dans The Journal of Epidemiology and Community Health où il était montré l’impact de la consommation de poisson sur la dépression.

Celle menée à l’Université de Las Palmas et présentée dans la revue BioMed Central montre qu’un régime riche en noix et en fruits et légumes, est bon contre la dépression. Les chercheurs ont démarré ces travaux en 1999 avec 15093 participants. Au début de l’étude, aucun n’était atteint de dépression.

L’idée était l’évolution de la santé mentale des personnes en fonction du régime auquel les scientifiques les avaient soumis. Avant cela, les participants devaient indiquer de façon précise leurs habitudes alimentaires, afin de comparer leur état de santé avant et après un changement de régime.

Trois groupes ont ensuite été crées. Le premier a suivi un régime méditerranéen (riche en légumes du soleil, noix, poissons et huile d’olive), l’autre régime, était végétarien et le dernier s’est vu prescrire le programme Alternative Healthy Eating Index-2010, basé sur une liste d’aliments recommandés contre les maladies chroniques et très similaire au régime méditerranéen.

 

« Un effet de seuil »

Sur toute la durée de l’étude, 1550 cas de dépression ont été enregistrés. Selon eux, les personnes ayant suivi le régime méditerranéen et le programme Alternative Healthy Eating étaient moins touchés par cette pathologie.

Néanmoins, les chercheurs n’ont observé aucun bienfait chez les personnes qui respectaient de manière stricte tel ou tel régime, indiquant qu’il existe bien un  «effet de seuil», comme le souligne le professeur Sanchez-Villegas.

 

En d’autres termes, lorsque l’on se nourrit mieux, on observe une différence sur son humeur, mais que l’on atteint rapidement un certain seuil au-delà duquel les repas très équilibrés ne vous rendront pas forcément plus heureux.

 

 

Louis.G/ Source : www.psychomedia.ca / Image : www.everythingg.com 

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