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Cancer : une scientifique grenobloise développe la ET-D5

Publié le : 11/02/2015 00:00:00
Catégories : Conseils & Solutions

Cancer : une scientifique grenobloise développe la ET-D5

A Grenoble, une chercheuse travaille sur une molécule qui pourrait bien faire évoluer dans le bon sens la recherche contre le cancer

 

Un financement en attente :

Aurélie Juhem est une scientifique grenobloise déterminée, qui travaille depuis sept ans sur une molécule qui vise à être très prometteuse dans la recherche contre le cancer. Son nom : ET-D5. Elle a « la capacité de stopper la division et la prolifération des cellules tumorales. Elle peut aussi détruire les vaisseaux qui se sont formés et qui alimentent la tumeur » présents à proximité. Des tests encourageants ont déjà été effectués sur des rongeurs. Mais, d’autres essais doivent être faits sur les humains pour poursuivre l’étude.

Pour franchir ce palliais, la chercheuse grenobloise a tout de même besoin de fonds et comme elle a pu le confier au magazine de L’express, elle aurait besoin de 500.000 euros pour payer et réaliser la phase de tests réglementaires de toxicologie pour savoir si la molécule peut être dangereuse pour l’homme. L’appel aux dons est donc lancé.

Dans le cas contraire, les premiers essais cliniques pourraient démarrer au début de l’année 2016 sur les patients du centre anticancéreux Léon Berrard de Lyon. « Les volontaires prendront cette molécule sous forme de cachets. Cela sera de la chimio par voie orale, quelque chose d’innovant qui viendra compléter tout l’arsenal thérapeutique existant », souligne la scientifique. Les essais porteront sur des personnes malades atteintes du cancer du foie, du pancréas, du rein ou de sarcomes, difficilement opérables.

 

 

Le cancer en quelques chiffres:

Comme nous avons pu le présenter dans d’autres articles, 355.000 nouveaux cas ont été estimés en 2012 et touche 200.000 hommes et 155.000 femmes. Même si la mortalité a diminué ces vingt dernières années, elle reste tout de même la première cause de mortalité chez l’homme et la deuxième chez la femme.

Il existe aujourd’hui  de nombreuses études dans ce domaine mais celle présentée aujourd’hui pourrait bien faire avancer grandement la recherche.

 

D’ailleurs, si les tests s’avéraient concluants, le brevet sera remis à l’université Joseph Fourier de Grenoble. Ensuite, il pourra être vendu par un laboratoire pharmaceutique pour une exploitation à grande échelle.

 

 

 

Louis.G / Source : www.ouestfrance.fr / Image : www.gizmodo.com 

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